Ce nouveau terme, un peu barbare, nous vient tout droit de la Silicon Valley et des nombreuses startups qui s’y créent en permanence. Aujourd’hui, les grandes entreprises autres que les GAFA (Google, Amazon, Facebook et Apple) s’y mettent en recrutant des teams spécialisées en Growth hacking& marketing.
En webmarketing, les acronymes sont légions et ce n’est pas le référencement qui à l’encontre de cela. D’ailleurs, chez les professionnels comme chez les annonceurs, beaucoup se mélangent entre SEO, SEA, SEM et SMO. Et pourtant, ils sont biens complémentaires pour un but commun : le référencement d’un site web.
Le marketing et surtout le webmarketing sont friands d’acronyme. Avec le lancement d’espaces publicitaires sur le web, différents coûts de facturation sont apparus. Cela permet aussi d’avoir des statistiques précises et de payer exactement pour l’objectif de la campagne de webmarketing.
Le géant américain a lancé en 1999 son service de liens sponsorisés sur son moteur de recherche. Il est couramment vulgarisé en “achat de mots-clés”. 17 ans plus tard, il représente la première rentrée d’argent de Google et en voyant son quasi-monopole sur le marché français, les Adwords sont le principal service de publicité par lien.
L’acronyme CMS nous vient tout droit des Etats-Unis. Il signifie Content Management System, c’est-à-dire, un logiciel de gestion de contenu. Il permet à n’importe qui de créer et de gérer un site web sans avoir aucune connaissance technique ou de code. La connaissance des bases en HTML et CSS peuvent largement aider.
